nov 282009
V.O. sous-titrée en français.
En surfant un peu je suis tombé sur ce court métrage intitulé George Lucas In Love. Je l’avais déjà vu il y a quelques années mais je me suis dit que le hasard n’existait pas. J’ai donc décidé de le revoir. Et j’ai bien fait ! Il m’a une nouvelle fois amusé. La magie a fonctionné de nouveau 
George Lucas In Love est un court-métrage américain de 1999 réalisé par Joe Nussbaum. Le synopsis n’est pas très original puisqu’il reprend l’idée du film Shakespeare in Love et l’adapte à Star Wars :
En 1967, alors qu’il n’est encore qu’un étudiant, George Lucas tente désespérément de terminer l’écriture d’un scénario alambiqué afin de pouvoir obtenir son diplôme. Il rencontre Marion, une fille à la coiffure originale, qui l’encourage à écrire sur ce qu’il connaît afin de mieux trouver l’inspiration.
L’originalité du film réside plus dans le malin plaisir que prend le réalisateur à nous évoquer des personnages de la saga en se référant à des amis ou éléments que tous les étudiants américains ou non, ont croisé au moins une fois dans leur parcours universitaire. Ainsi, on découvre que Ben Kenobi est en fait un cothurne qui squatte sur le canapé en se frappant des douilles et en délirant sur les énergies cosmiques. Dark Vador est le voisin de chambre asthmatique hyper glauque qui veut rivaliser avec Georges. Au passage, on apprend qui a inspiré Yoda, Jabba ou le passage où Luke perd sa main etc… Evidemment, tout ceci n’est qu’une fiction bien éloignée de la réalité mais c’est amusant et que vous l’ayez vu ou non, je vous le recommande.
Ce film dure 8 minutes seulement et vous fera passer un moment agréable. Alors profitez-en.
The story of this short film (for my English friends) :
In 1967, writer’s-blocked USC film student George Lucas has only three days to finish his script or he won’t graduate. He ends up falling for a girl named Marian (with her hair done up in buns on the sides of her head) who encourages him to write what he knows and feels.
I hope you’ll enjoy it as much as I did.
