mar 232011
 

After ‘Le tour du monde en 80 secondes’, Alex Profit’s second project takes us though Paris, Barcelona, Berlin, St. Petersbourg, Shanghai, Tokyo, New York and London. Done in only 24 days.

Le réalisateur Alex Profit nous emmène à Paris, Barcelone, Berlin, Saint Saint-Saint-Pétersbourg, Shangaï, Tokyo, New York et Londres.

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juil 022010
 

Brahms and Ravel played on the Vuvuzela. An exclusive performance for ZEIT ONLINE in the Konzerthaus Berlin.

Après quelques notions expliquées pour jouer la vuvuzela. ces musiciens de Berlin jouent 2 oeuvre de brahms et de Ravl que vous reconnaitrez peut-être. Je ne suis pas encore certain de savoir  laquelle je préfère…

brahms-ravel-vuvuzela

nov 152009
 

revue-presse-web-review-sunday-15-11-09

La revue du web. C’est des liens vers les articles et les vidéos qui m’ont interloqué cette semaine. Profitez, c’est dimanche.

Each Sunday, the Web Review tells you everything you need to know about what was hot on the Web this week :

  • Dixit / Verbatim

David Douillet : « On dit que je suis misogyne. Mais tous les hommes le sont. Sauf les tapettes ! » [CrepeGoeorgette]

Marie NDiaye, qui a reçu le prix Goncourt cette année a dit dans un entretien pour les Inrocks :

Vous sentez-vous bien dans la France de Sarkozy ?

Je trouve cette France-là monstrueuse. Le fait que nous (avec son compagnon, l’écrivain Jean-Yves Cendrey, et leurs trois enfants – ndlr) ayons choisi de vivre à Berlin depuis deux ans est loin d’être étranger à ça. Nous sommes partis juste après les élections, en grande partie à cause de Sarkozy, même si j’ai bien conscience que dire ça peut paraître snob. Je trouve détestable cette atmosphère de flicage, de vulgarité… Besson, Hortefeux, tous ces gens-là, je les trouve monstrueux. Je me souviens d’une phrase de Marguerite Duras, qui est au fond un peu bête, mais que j’aime même si je ne la reprendrais pas à mon compte, elle avait dit : “La droite, c’est la mort.” Pour moi, ces gens-là, ils représentent une forme de mort, d’abêtissement de la réflexion, un refus d’une différence possible. Et même si Angela Merkel est une femme de droite, elle n’a rien à voir avec la droite de Sarkozy : elle a une morale que la droite française n’a plus.

Je n’aurais pas dit mieux.

  • Presse / Press

Qui a dit : « Nous sommes du bouillon ! Nous sommes Berlin ! » ? [RTL] (Nicolas Sarkozy dit n’importe quoi en allemand.)
Arts et Lettres : le chauffeur d’Albanel aussi récompensé [Numérama]


Des fois, certains manquent des occasions de se taire. Eric  Raoult cumule les gaffes qui reflètent bien une certaine vision de la « liberté d’expression »  et de la « liberté de la presse » telle qu’elle est fantasmée au gouvernement.

Raoult (UMP) invente un «devoir de réserve» pour les Prix Goncourt [Libération]
RSF reproche « le manque de courage politique » d’Eric Raoult [Le Nouvel Obs]
La Tunisie et les journalistes : Raoult persiste [Le Nouvel Obs]

  • Photo de la semaine /Picture of the Week

En Australie, sur la jetée de Brighton à Victoria, un fort coup de vent à propulsé un chien dans l’eau. Sa Maîtresse âgée, Sue Drummond ne pouvait que regarder son chien disparaître sous la force des vagues.  heureusement, Raden Soemawinata se trouvait également sur la jetée.  Il était là pour disperser les cendres de sa maman dans l’Océan. Ce jeune mannequin n’a pas hésité à se déshabiller avant de se jeter à l’eau pour sauver l’animal en détresse. La photo ci-dessous montre qu’on peut-être âgé et aimer les mannequins. D’autres photos en suivant le lien : [The Chive]

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  • Videos/Vidéos

Maru, un des chats les plus connus du web, s’amuse à rentrer et sortir.

$2 Mormon Haircuts local Commercial – Une coupe à 2$, c’est poilant.

2 hommes, 1 chien dans un avion en chute libre pour créer un environnement en gravité zéro. Zero-G Dog

Qui a dit : « Nous sommes du bouillon ! Nous sommes Berlin ! » ?

nov 092009
 

Video + Original speech + traduction française

« Beaucoup de gens dans le monde ne comprennent pas ou prétendent ne pas comprendre la grande question qui oppose le monde libre et le monde communiste. Qu’ils viennent à Berlin !

Certains disent que le communisme est la voie de l’avenir. Qu’ils viennent à Berlin !

D’autres encore, en Europe et ailleurs, disent que nous pouvons travailler avec les communistes. Qu’ils viennent à Berlin !

Il y en a même qui reconnaissent que le communisme est mauvais, mais qu’il permet de réaliser des progrès économiques. Qu’ils viennent à Berlin ! [... ]

Ce qui est vrai de cette ville est vrai de l’Allemagne – une paix réelle et durable en Europe ne pourra être assurée tant qu’un Allemand sur quatre se verra privé du droit élémentaire des hommes libres, qui est de choisir librement. [... ] Tous les hommes libres, où qu’ils vivent, sont des citoyens de Berlin, et c’est pourquoi, en tant qu’homme libre, je m’enorgueillis de dire : Ich bin ein Berliner. »

« I am proud to come to this city as the guest of your distinguished Mayor, who has symbolized throughout the world the fighting spirit of West Berlin. And I am proud to visit the Federal Republic with your distinguished Chancellor who for so many years has committed Germany to democracy and freedom and progress, and to come here in the company of my fellow American, General Clay, who has been in this city during its great moments of crisis and will come again if ever needed.

Two thousand years ago the proudest boast was « civis Romanus sum. » Today, in the world of freedom, the proudest boast is « Ich bin ein Berliner. »

I appreciate my interpreter translating my German!

There are many people in the world who really don’t understand, or say they don’t, what is the great issue between the free world and the Communist world. Let them come to Berlin. There are some who say that communism is the wave of the future. Let them come to Berlin. And there are some who say in Europe and elsewhere we can work with the Communists. Let them come to Berlin. And there are even a few who say that it is true that communism is an evil system, but it permits us to make economic progress. Lass’ sie nach Berlin kommen. Let them come to Berlin.

Freedom has many difficulties and democracy is not perfect, but we have never had to put a wall up to keep our people in, to prevent them from leaving us. I want to say, on behalf of my countrymen, who live many miles away on the other side of the Atlantic, who are far distant from you, that they take the greatest pride that they have been able to share with you, even from a distance, the story of the last 18 years. I know of no town, no city, that has been besieged for 18 years that still lives with the vitality and the force, and the hope and the determination of the city of West Berlin. While the wall is the most obvious and vivid demonstration of the failures of the Communist system, for all the world to see, we take no satisfaction in it, for it is, as your Mayor has said, an offense not only against history but an offense against humanity, separating families, dividing husbands and wives and brothers and sisters, and dividing a people who wish to be joined together.

What is true of this city is true of Germany–real, lasting peace in Europe can never be assured as long as one German out of four is denied the elementary right of free men, and that is to make a free choice. In 18 years of peace and good faith, this generation of Germans has earned the right to be free, including the right to unite their families and their nation in lasting peace, with good will to all people. You live in a defended island of freedom, but your life is part of the main. So let me ask you as I close, to lift your eyes beyond the dangers of today, to the hopes of tomorrow, beyond the freedom merely of this city of Berlin, or your country of Germany, to the advance of freedom everywhere, beyond the wall to the day of peace with justice, beyond yourselves and ourselves to all mankind.

Freedom is indivisible, and when one man is enslaved, all are not free. When all are free, then we can look forward to that day when this city will be joined as one and this country and this great Continent of Europe in a peaceful and hopeful globe. When that day finally comes, as it will, the people of West Berlin can take sober satisfaction in the fact that they were in the front lines for almost two decades.

All free men, wherever they may live, are citizens of Berlin, and, therefore, as a free man, I take pride in the words « Ich bin ein Berliner. »

sept 062009
 

Réalisée par Ace Norton, cette vidéo est une excellente démonstration de la création de musique électronique à partir de sons capturés en ville par 3 artistes (Ace Norton, Uwe Flade et Corine Stuebi). L’originalité du morceau repose sur les différents endroits où les sons ont été enregistrés. Ainsi à nous de reconnaître les cloches de Berlin, les sonettes de vélo d’Amsterdam,  les roulements à bille des skateboards de Los Angeles etc… Le montage vidéo est assez hypnotisant et l’ensemble a le bon goût de ne pas dépasser les 3 minutes. Que demander de plus ? [Electronicbeats]