mai 222012
nov 102011
nov 092011
juil 252011
juin 142011
Ce chaton qui s’endort a un talent indéniable pour la harpe invisible.
« So cute I think my head just exploded. BANG! » – albertusj
fév 202011
déc 082009
Oui, on pourrait croire que l’invisibilité, la transparence m’intéresse, alors qu’en réalité, il n’en est rien. Il se trouve que par un heureux hasard ou une triste coïncidence, des artistes travaillent sur ce thème. Chacun apporte sa pierre. Ainsi, à l’autre bout du monde, nous avons Liu Bolin, un artiste chinois qui travaille sur le camouflage en se peignant de la tête au pied pour se fondre dans les décors jusqu’à devenir invisible.
Nous avons une autre approche de l’invisibilité avec le français Fred Lebain qui s’amuse à créer à la fois des illusions et du camouflage avec un de ses projets où une personne se dissimulent derrières des photos représentant le décor.
Cette fois, c’est l’artiste australien Khristian Mendoza qui joue sur la transparence et sur la notion d’invisibilité sélective. Son personnage pourrait dispararaître entièrement s’il sautait sautait dans ce trou portable… Un peu d’infini à portée de main… Tentant, non ? Je vous laisse savourer.
Vous voyez, 3 artistes, sur 3 continents différents, et ils traitent du même thème. Les idées sont-elles dans l’air ?
[Portfolio de Khristian Mendoza] via [Fubiz]
nov 132009
Liu Bolin est un artiste chinois qui maîtrise l’art du camouflage. Il se peint entièrement de manière à se fondre dans les décors les plus variés. Sur certains de ses clichés, le trouver peut s’avérer plus difficile. Ses photos font actuellement le tour de la planète.
Au début, je n’avais pas envie d’en parler ici. Je trouvais que c’était une performance amusante et bien réalisée. Comme je n’arrête pas de tomber sur lui, sur des sites du monde entier. J’ai eu plusieurs fois l’occasion de regarder son travail avec attention. Et au fur et à mesure, que je regarde ses photos,je commence à comprendre une partie de son art. Il commence à me parler. Sur chaque cliché, il affiche cette volonté de transparence. Son corps n’étant plus qu’une représentation de la réalité. Il a les yeux fermés aussi et d’une certaine manière, quand on ferme les yeux, le monde disparait. Quand je regarde ses photos qu’est-ce que je vois ? Je vois un artiste chinois transparent qui me fait disparaitre… Il commence sérieusement à me plaire. Surtout que ses images peuvent prendre un sens politique quand il se tient devant le drapeau chinois ou les mascottes de JO de Pékin, ou un sens poétique quand il embrasse une jeune fille. [Liu Bolin]
